Un hydrolat exceptionnel, rare et précieux, distillé par Floraluna à partir de rameaux de Tea-tree des Pyrénées-Orientales.
Aux vertus comparables à l’huile essentielle, mais en plus doux, un grand allié de la peau et des muqueuses !
Stimulant, tonique nerveux, purifiant, cet hydrolat est un must-have de votre aromathèque !
Nom latin : Melaleuca alternifolia
Famille botanique : Myrtacées
Partie distillée : rameaux
Origine : France / Pyrénées-Orientales
UN PEU DE CULTURE
Arbre des côtés du nord-ouest de l’Australie, il pousse dans les plaines marécageuses argile-sablonneuses, sur des sols plutôt hostiles. Il peut atteindre 5 à 7 mètres de hauteur. Le Tea-tree distillé par Floraluna est cultivé dans les Pyrénées-Orientales et récolté à la main par un paysan partenaire, innovant et respectueux du vivant.
L’écorce de son tronc est lisse et claire et se détache en fines lamelles, à la manière d’un parchemin Il a un aspect très ramifié, son bois est dur et imputrescible. Ses feuilles persistantes, alternes et lancéolées sont en forme d’aiguilles d’un vert brillant. Ses inflorescences sont blanches et donnent des graines minuscules.
Les feuilles de divers Melaleuca étaient traditionnellement utilisées par les aborigènes d’Australie contre le rhume, la fièvre et les congestions. Le peuple des Bundjalung de la côte nord-est de la Nouvelle-Galles du Sud écrasaient les feuilles pour en inhaler l’essence ou les faisaient infuser pour en boire la tisane.
Il se dit que lors de la Seconde Guerre mondiale, les soldats australiens auraient été pourvus d’un flacon d’huile essentielle pour traiter d’éventuelles infections cutanées et pour repousser les insectes1. Mais il est possible que cette histoire ne soit qu’une légende, car aucun élément de preuve n’a pu être apporté à cette affirmation.
C’est une huile volatile, de couleur jaune pâle, d’odeur balsamique, légèrement épicée, qui renferme plus d’une centaine de substances dont de nombreux mono- et sesquiterpènes8. Le composant majoritaire est le terpinène-4-oln 2 qui serait le principal responsable de l’activité antimicrobienne de l’huile.
Eau osmosée, rameaux de tea-tree français bio, origine Pyrénées-Orientales
Nous distillons à l’eau osmosée, dans nos alambics en Inox 316 L ou en cuivre.
La vapeur d’eau osmosée est produite dans un générateur à vapeur alimenté par Llum, fournisseur d’électricité verte.
Durant la distillation, nous choisissons une musique adaptée – souvent du classique – ainsi qu’une pierre semi-précieuse,
afin d’accompagner la plante dans son voyage.
Cet hydrolat est donc composé d’eau osmosée, musicalisée, énergisée, et des parts volatiles, solubles, de la plante.
Déconseillé aux femmes enceintes, ou en période d’allaitement, ainsi qu’aux enfants de moins de 7 ans.
Déconseillé aux personnes allergiques aux plantes de la famille des lauracées, ou à l’eugénol.
Nous vous recommandons l’avis d’un médecin pour une utilisation prolongée, surtout ou en cas d’affection de longue durée et/ou si vous suivez un traitement médicamenteux.
Cette huile essentielle ne devrait pas être avalée, mais elle est présentée dans certains compléments alimentaires (de même que des huiles de niaouli et de cajeput), trois huiles provenant toutes d’espèces de Melaleuca, qui sont déconseillées, voire interdites dans certains pays européens, par exemple autorisées en Italie, mais interdites en Belgique, en absorption par voie orale, en raison de leurs potentiels effets neurotoxiques. Sur la base d’allégations, ces compléments alimentaires sont cependant parfois détournés comme traitement d’appoint contre certaines infections (angines, sinusites, cystites…).
En France l’Anses a confirmé en 2020, que d’après les connaissances actuelles, certains composés des huiles essentielles de Melaleuca « présentent des risques neurologiques (niaouli et cajeput), cancérigènes, génotoxiques et potentiellement reprotoxiques. » L’Anses a produit des recommandations pour la conservation, le dosage, d’éviction voire d’interdiction de ces huiles, qui sont notamment à déconseiller aux enfants et aux femmes enceintes ou allaitantes.
Pour l’Anses, cette huile contient trois composés préoccupants :
le terpinèn-4-ol (dont la toxicité testiculaire est démontrée chez le rat),
le méthyleugénol, présent à très faible dose, mais connu comme génotoxique et cancérogène pour l’Homme,
l’ascaridole qui se forme quand l’huile n’est pas correctement conservée, dont la toxicité et la présence dans les compléments alimentaires n’a pas encore en 2020 été très étudiée.
Les risques induits par le terpinèn-4-ol et le méthyleugénol varient selon la teneur de l’huile en ces composés, selon le nombre et la taille des gouttes ingérées, et au vu du poids corporel du consommateur.
En 2020, l’Anses a recommandé « aux opérateurs de déterminer le nombre maximal de gouttes à consommer par jour et pour cela, de prendre en compte les teneurs en terpinèn-4-ol et en méthyleugénol dans ces huiles essentielles, la taille des gouttes délivrées par les flacons et le poids corporel du consommateur. Par ailleurs, pour prévenir la formation d’ascaridole, le consommateur doit être informé de la nécessité d’une conservation au frais et à l’obscurité des huiles essentielles d’arbre à thé ».
Le dosage habituellement conseillé pour l’utilisation des hydrolats en boisson est de 3 à 4 cuillers à soupe par jour, diluées dans de la bonne eau.
Principalement utilisé en externe pour ses vertus circulatoires, apaisantes, drainantes.
Reviews
There are no reviews yet.